S’occuper quand il pleut


Voilà bien le dilemme que j’avais lorsque j’avais dix ans. Depuis que je fais du vin, la question ne se pose plus, croyez-moi ;-) Nouvel épisode pluvieux, cet après midi, et plutôt violent, juste le temps de finir de traiter à la machine à dos la petite Sibérie, d’ébourgeonner les plantiers de Syrah et de Mouvèdre plantés il y a quatre ans sur le versant nord, et… douche. Notre équipe de fidèles polonais venait d’arriver et, alors que la sécheresse bat son plein parait-il chez eux, ici, c’est un temps de Toussaint (en pire…).

Donc, quand il pleut, on avance au bureau. Suivi des commandes de matières sèches (l’enfer…) et puis, enfin, la finalisation de l’offre primeur 2008. Écrire, mettre en page, transformer en .pdf, envoyer aux amis de la propriété qui nous ont laissé leur email, puis, bien sûr, imprimer, plier, timbrer et demain poster. C’est le genre de journée où je remercie vraiment le ciel de m’avoir permis, lors des mes vies professionnelles antérieures, de maitriser un tant soit peu l’écriture et un peu la micro-informatique, avec tout ce quelle permet aujourd’hui. Et encore, j’ai de sacrées lacunes. Mais comment font les vignerons qui ne maitrisent pas, aujourd’hui, un miminum l’informatique ? Je ne parle pas seulement, du commercial ou de la communication mais aussi de la traçabilié, de la douane, de… tout.

Bon, chers amis, si vous voulez lire mon récit du millésime 2008 et, qui sait, vous offrir quelques bouteiles d’un des rares vins de garde du millésime, c’est ICI.  ;-) Et vous cliquez sur le petit panneau qui descend ;-)

Ah, pour une fois, un peu d’autopromotion ;-)

Laisser un commentaire

ABONNEMENT

Recevez les billets du blog dès leur publication. Et rien d'autre.

Archives